Peut-on vraiment imaginer l’IVG inscrite dans la Constitution ? Les propos chocs de Line Renaud vont faire polémique !
Line Renaud et le droit à l’avortement : une révolution constitutionnelle
Lors d’une récente prise de parole sur France Inter, Line Renaud a évoqué son expérience traumatisante d’avortement clandestin, une pratique qui fut son seul recours dans sa jeunesse, alors que l’acte était illégal. Engagée à titre de vice-présidente de l’association Sidaction, elle s’est réjouie du succès du vote du Congrès qui inscrit désormais le droit à l’IVG dans la Constitution française, un événement qu’elle qualifie de remarquable pour le pays.
Souvenirs douloureux d’une époque révolue
À l’âge de 18 ans, Line Renaud avait fait appel à ce qu’on appelait des “faiseuses d’anges”, des femmes qui, dans l’ombre et au péril de la loi, offraient leurs services pour mettre fin à des grossesses non désirées. L’actrice se remémore un épisode terrifiant, marqué par des conditions obscures et des pratiques dangereuses qui l’ont laissée avec de graves complications sanitaires.
Un virage historique lors du Congrès à Versailles
- Insatisfaction dans la Constitution de l’IVG après un vote majoritaire
- Affichage au Trocadéro et cérémonie protocolaire devant le ministère de la Justice
- Message fort de la part des législateurs envers le droit des femmes à disposer de leur corps
La transformation législative s’est matérialisée début mars, recevant un appui considérable de la part des parlementaires rassemblés à Versailles. Le moment clé fut célébré par de nombreux défenseurs de la réforme via un dispositif de diffusion publique au Trocadéro et une cérémonie officielle où le sceau du Congrès a été apposé sur le texte amendé de la Constitution.
Line Renaud se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins entre son vécu personnel et les progrès du droit des femmes en France. Face à la reconnaissance constitutionnelle de l’IVG, elle partage un sentiment d’espoir et de progrès significatif pour la société.