Le gardien Lillois Lucas Chevalier absent six à huit semaines : Les JO de Paris 2024 compromis ? Découvrez les détails choquants !
Le gardien du LOSC, Lucas Chevalier, manquera six à huit semaines pour blessure. Les Jeux Olympiques de Paris 2024 en danger ? Les détails surprenants à découvrir !
Lucas Chevalier, le gardien blessé du LOSC
Dimanche dernier, lors du match entre Nantes et Lille (1-2), le gardien du LOSC et des bleuets, Lucas Chevalier, a été contraint de quitter le terrain prématurément. Selon les informations de l’Équipe, il devra subir une opération du genou dans les prochains jours et sera éloigné des terrains pendant une durée estimée entre six et huit semaines.
Un coup dur pour les Bleuets de Thierry Henry
Cette nouvelle tombe mal pour Lucas Chevalier, qui était pressenti pour être le capitaine de l’équipe de France des moins de 23 ans lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. En effet, Thierry Henry, l’entraîneur de cette sélection, avait déclaré fin mars que le jeune gardien avait “le potentiel” pour porter le brassard.
Cette blessure pourrait donc compromettre les plans du sélectionneur à moins de trois mois de l’événement. La période d’indisponibilité de Chevalier étant estimée à au minimum six semaines, il est peu probable qu’il puisse retrouver sa forme optimale avant le début de la compétition.
Des solutions de rechange envisageables
Si le nom de Hugo Lloris, capitaine des champions du monde 2018, avait circulé un temps parmi les trois joueurs hors catégorie d’âge pouvant intégrer la sélection olympique, ce n’est finalement pas au poste de gardien qu’elle est le plus dépourvue de talents.
En effet, Guillaume Restes, 19 ans, le gardien de la sélection Espoirs (moins de 21 ans), est également titulaire à Toulouse en Ligue 1 et avait pleinement donné satisfaction à Henry lors de ses quatre premiers matches à la tête des Bleuets. Il pourrait donc être une solution de rechange crédible pour pallier l’absence de Chevalier.
Toutefois, la décision finale reviendra à Thierry Henry, qui devra peser le pour et le contre de chaque option avant d’arrêter sa liste définitive pour les Jeux Olympiques de Paris 2024.