Stratégie renforcée contre la délinquance et le trafic de stupéfiants

Dans un contexte où la fermeté de l’action judiciaire doit être soulignée et perçue, le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a pris l’initiative de renforcer les directives adressées aux représentants du parquet. Par un courrier officiel, il insiste sur l’importance d’une collaboration étroite et systématique avec les services de police, toutes impliquées dans la stratégie de restauration de l’ordre public intégrant les déploiements dit de «place nette».

Opérations «Place nette» : une coordination judiciaire-policière

Cette approche novatrice, étendue à l’échelle nationale à la fin de l’année précédente par le ministère de l’Intérieur, s’inspire du modèle des interventions éclairs «Tempête» conçues par les forces de gendarmerie. L’objectif est de mettre en œuvre des opérations décisives sur les terrains publics pour éradiquer les activités criminelles, avec une priorité marquée pour la lutte contre les narcotrafics, identifiée comme une préoccupation majeure du gouvernement en termes de sûreté étatique.

Priorité sur le combat contre le trafic de stupéfiants

Le combat contre la vente illicite de drogues se place au cœur des directives gouvernementales en la matière. L’efficacité de ces mesures se voit déjà appuyée par les données fournies par le ministère de l’Intérieur, affichant une série d’opérations réussies développées sur une période de quatre mois.
Pour une meilleure visibilité de ces actions et renforcer la perception de l’efficacité judiciaire dans ce domaine, il est crucial de maintenir une vigilance constante, et de garantir la tenue ferme de cette initiative visant à contrecarrer l’emprise criminelle sur la société. La justice se positionne donc dans une dynamique de visibilité active, répondant à l’exigence d’une intervention concrète et significative dans le quotidien des citoyens.